Cours à la carte
Tous les cours sont accessibles à la carte, suivant les intérêts de chacun. Domuni-Universitas offre ainsi la possibilité de choisir un ou plusieurs cours, sans programme prédéfini, selon une grande flexibilité. Chacun peut personnaliser son parcours, l'initier ou le compléter, selon ses besoins.
Les cours à la carte se suivent selon deux formules :
- en totale autonomie, à son rythme, à la manière d'un auditeur libre. L'étudiant reçoit alors le cours par mail.
- avec suivi et validation, à son rythme toujours, dans un délai de 12 mois. L'étudiant est inscrit sur la plateforme d'enseignement Moodle, où il suit le cours, comme tous les étudiants réguliers, bénéficiant d'un accompagnement pédagogique. Cette formule permet d'obtenir une attestation de réussite et les crédits ECTS transférables.
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L'expérience de la souffrance
L’expérience de la souffrance et de la maladie, dans la théologie de Xavier Thévenot. La réflexion repose sur l’œuvre du théologien moraliste décédé en août 2004 de la maladie de Parkinson et d’une sclérose en plaques, après 25 années de souffrance. Il a su intégrer l’apport des sciences humaines à l’ensemble de son questionnement théologique.
La Charité I (IIa - IIae, 23-46)
Ce cours propose une exploration exhaustive de la nature, des nuances et des implications de la charité en tant que concept central dans la théologie chrétienne, en particulier à travers l’œuvre de Saint Thomas d’Aquin dans la Somme Théologique. Il fait suite et complète une étude des vertus théologales qui a été donnée dans les années 1965 par le Père Labourdette (†) au Studium des dominicains de Toulouse.
La compassion - Tome 1
Ce cours répondra tout particulièrement aux attentes des personnels soignant (médecin, infirmières, etc), à ceux qui accompagnent les malades ou les mourants. Il touchera plus généralement tous ceux qui se posent la question de la souffrance de l’autre. Voir le TOME 2
La compassion - Tome 2
Cette seconde partie (étapes 11 à 20) considèrera de façon plus développée le message évangélique et en particulier Jésus comme modèle. Voir le TOME 1
La Doctrine sociale de l’Église (THBA24026)
Ce cours s'inscrit dans une réflexion profonde sur les principes éthiques, économiques et sociaux inspirés par l'enseignement de l'Église catholique. Il explore les enseignements du Magistère sur des sujets fondamentaux, comme la dignité humaine, le bien commun, la subsidiarité et la justice sociale. À travers une analyse des textes fondateurs et des principes éthiques, il invite les étudiants à comprendre comment la doctrine sociale de l'Église offre des solutions aux défis contemporains du monde économique et social, dans un souci de solidarité et de responsabilité.
La filiation
Le séminaire est terminé
Séminaire de recherche du 8 octobre au 10 décembre 2015. Comment devient-on père, ou mère? Comment se reconnaître fils ou fille? Face à des interrogations soulevées avec une nouvelle acuité par des évolutions scientifiques et techniques, il peut sembler surprenant d'ouvrir la Bible...
La fraternité aux prises avec la violence
Habitée par des tensions, la fraternité se construit en rapport avec la violence. Les mythes fondateurs évoquent le fratricide ou, à l’opposé, les mythes totalitaires comme celui de Babel. La réalisation d’une société de liberté, égalité, fraternité, suppose l’ouverture à l’Autre, condition d’équilibre humain et spirituel, entre le particulier et l’universel.
La grâce et les vertus théologales
Qu'est-ce que le surnaturel? Loin de tout discours obscurantiste, la tradition catholique a forgé les concepts de vertus théologales, de grâce, de surnaturel, pour parler de l'action de Dieu en l'homme, dans son articulation avec l'action de l'homme: ce cours est donc aussi un cours de théologie morale.
La liberté pour tous, une illusion ?
Le séminaire est terminé
E-séminaire de recherche en philosophie politique. Du 4 avril au 29 mai 2016 Les évènements de Charlie Hebdo ont suscité un débat sur la liberté d’expression qui a amené à de nombreuses interrogations sur la notion de la liberté en général : a-t-on le droit de tout se permettre au nom de la liberté individuelle au risque d’offenser ou de faire souffrir l’autre ? Jusqu’où va notre liberté ? Est-il possible de dire : « à chacun sa liberté » ? La loi, les valeurs culturelles et religieuses permettent-elles de faire coexister les libertés de chacun? Au final, peut-il exister un fondement universel de la liberté qui procurerait la paix et le bonheur à tous ?
La Reconnaissance, Réparer les blessures
La reconnaissance, au sens où nous l’entendons ici, désigne la reconstruction des rapports sociaux (Jean-Marc Ferry), le développement de rapports positifs par l’estime de l’autre et le respect de sa différence (Axel Honneth et Charles Taylor), la justice sociale ou la redistribution équitable de biens et avantages socio-économiques (Nancy Fraser), l’échange symbolique de dons de reconnaissance entre partenaires (Marcel Henaff et Paul Ricœur).
La Relation à l'autre dans la philosophie d'Emmanuel Lévinas
Ce cours permet de relire la tradition philosophique à la lumière de la pensée d’Emmanuel Lévinas notamment dans un dialogue avec Aristote et Husserl, de comprendre le choix d’une éthique comme philosophie première, de réfléchir à nouveaux frais au statut de la relation. Lévinas écrit : "Au commencement est la relation". Y a-t-il donc une Relation au point de départ de tout ? Cette question ouvre sur la sphère politique et au dialogue inter religieux.
Les fondements de l'Ethique
Parfois, les émotions prenant le dessus sur la raison, la discussion se réduit à des arguments du type « pour » ou « contre ». S’autoriser à simplifier les questions éthiques de manière si catégorique est d’une certaine manière faire fi de la complexité des situations et de la réalité des personnes qui les vivent...
Loi naturelle et post-humanisme
En dépit de leurs différences biophysiologiques, qui constituent la mosaïque de l’humanité, les hommes disposent tous, en leur for intérieur, d’une intuition du bien : bien en direction duquel l’humanité est appelée à travailler par le biais de l’intelligence et de la raison.
Cette « loi naturelle », pensée depuis des siècles et reprise par l’Eglise qui y a inscrit des aspects éthiques et moraux, a été analysée avec vigueur après le concile Vatican II : divers textes magistériels de premier plan se sont ainsi donné pour tâche de discerner si cette loi naturelle pouvait, de nos jours, s’apparenter à une éthique universelle.