Cours à la carte
Tous les cours sont accessibles à la carte, suivant les intérêts de chacun. Domuni-Universitas offre ainsi la possibilité de choisir un ou plusieurs cours, sans programme prédéfini, selon une grande flexibilité. Chacun peut personnaliser son parcours, l'initier ou le compléter, selon ses besoins.
Les cours à la carte se suivent selon deux formules :
- en totale autonomie, à son rythme, à la manière d'un auditeur libre. L'étudiant reçoit alors le cours par mail.
- avec suivi et validation, à son rythme toujours, dans un délai de 12 mois. L'étudiant est inscrit sur la plateforme d'enseignement Moodle, où il suit le cours, comme tous les étudiants réguliers, bénéficiant d'un accompagnement pédagogique. Cette formule permet d'obtenir une attestation de réussite et les crédits ECTS transférables.
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La liberté pour tous, une illusion ?
Le séminaire est terminé
E-séminaire de recherche en philosophie politique. Du 4 avril au 29 mai 2016 Les évènements de Charlie Hebdo ont suscité un débat sur la liberté d’expression qui a amené à de nombreuses interrogations sur la notion de la liberté en général : a-t-on le droit de tout se permettre au nom de la liberté individuelle au risque d’offenser ou de faire souffrir l’autre ? Jusqu’où va notre liberté ? Est-il possible de dire : « à chacun sa liberté » ? La loi, les valeurs culturelles et religieuses permettent-elles de faire coexister les libertés de chacun? Au final, peut-il exister un fondement universel de la liberté qui procurerait la paix et le bonheur à tous ?
La Reconnaissance, Réparer les blessures
La reconnaissance, au sens où nous l’entendons ici, désigne la reconstruction des rapports sociaux (Jean-Marc Ferry), le développement de rapports positifs par l’estime de l’autre et le respect de sa différence (Axel Honneth et Charles Taylor), la justice sociale ou la redistribution équitable de biens et avantages socio-économiques (Nancy Fraser), l’échange symbolique de dons de reconnaissance entre partenaires (Marcel Henaff et Paul Ricœur).
La Relation à l'autre dans la philosophie d'Emmanuel Lévinas
Ce cours permet de relire la tradition philosophique à la lumière de la pensée d’Emmanuel Lévinas notamment dans un dialogue avec Aristote et Husserl, de comprendre le choix d’une éthique comme philosophie première, de réfléchir à nouveaux frais au statut de la relation. Lévinas écrit : "Au commencement est la relation". Y a-t-il donc une Relation au point de départ de tout ? Cette question ouvre sur la sphère politique et au dialogue inter religieux.
Les fondements de l'Ethique
Parfois, les émotions prenant le dessus sur la raison, la discussion se réduit à des arguments du type « pour » ou « contre ». S’autoriser à simplifier les questions éthiques de manière si catégorique est d’une certaine manière faire fi de la complexité des situations et de la réalité des personnes qui les vivent...
Loi naturelle et post-humanisme
En dépit de leurs différences biophysiologiques, qui constituent la mosaïque de l’humanité, les hommes disposent tous, en leur for intérieur, d’une intuition du bien : bien en direction duquel l’humanité est appelée à travailler par le biais de l’intelligence et de la raison.
Cette « loi naturelle », pensée depuis des siècles et reprise par l’Eglise qui y a inscrit des aspects éthiques et moraux, a été analysée avec vigueur après le concile Vatican II : divers textes magistériels de premier plan se sont ainsi donné pour tâche de discerner si cette loi naturelle pouvait, de nos jours, s’apparenter à une éthique universelle.
Morale et Politique (Premières questions philosophiques, tome 4)
Moralité et bonheur chez Kant (PHIL039)
Depuis l’Antiquité, les philosophes ont cherché à expliquer la manière dont l’homme pouvait atteindre le bonheur. Ce cours aborde la question du bonheur et de la moralité chez Kant. Comment Kant conçoit-il la moralité et le bonheur ? Le bonheur est-il réellement accessible à l’homme ? Les conceptions des Épicuriens, des Stoïciens et d’Aristote voyaient dans le bonheur le bien ultime (Souverain bien). La conception de ces philosophes eudémonistes diffère de celle du philosophe allemand, qui met en avant le devoir moral et fait du bonheur un objet d’espérance.