Cours à la carte

Adressée à une communauté qu’il n’a pas fondée, dans laquelle se manifestent des tensions qu’il veut apaiser, et auprès de laquelle il veut s’introduire, la lettre apparaît comme l’une des plus paisibles et des plus élaborées théologiquement de l’apôtre.

Le séminaire est terminé

La rencontre que St Luc a vécue avec le Christ est donc semblable à la nôtre : une expérience, dans la foi, de l’Amour et de la Miséricorde de Dieu, expérience totalement gratuite, imméritée, bouleversante… Ce sont donc quelques traits de cet Amour Miséricordieux annoncé par St Luc que nous nous efforcerons de mettre en lumière dans ce séminaire.

La première lettre aux Corinthiens constitue, plus qu’aucun autre écrit de Paul, une lettre : Paul débat avec ses lecteurs ou auditeurs de questions touchant la vie de la communauté.

La notion de messianisme n’est pas univoque. Elle est plurielle dès son origine ; elle donne naissance à divers courants religieux, spirituels ou politiques qui en retour suscitent d’autres interprétations de l’identité chrétienne en sa source. Cette difficulté est inscrite dans le Nouveau Testament lui-même.

Dans la Bible le corps est au centre. Et il est d’abord une énigme. Créé par Dieu, immédiatement voué à manifester son image, à prendre sa ressemblance (Gn 1, 26-27) —réalités et processus qui sont d’emblée inconnus—, le corps n’a rien d’une évidence. Aborder le corps dans la Bible nous lance dans l’enquête.

Tout le monde, même ceux qui ne connaissent à peu près pas la Bible, a déjà entendu parler de « Jonas dans la baleine », cela ne veut pas dire que le sens du livre et son message soient bien compris.

La lecture du livre de Job présente un côté déroutant, car le livre est extrêmement complexe. C’est la raison pour laquelle il a été lu de manières fort diverses. Avant d’entrer dans le livre, il convient de faire une lecture cursive, pour laquelle je donne quelques repères en considérant le livre dans son unité textuelle.

La Genèse est pour les chrétiens un texte inspiré. Il est donc essentiel de voir en quel sens il a été lu et relu par les chrétiens. Ceci introduit au cœur des questions théologiques en particulier la notion d’inspiration.

Les Actes des Apôtres forment un seul ouvrage long de 28 chapitres, dont le contenu paraît consacré au développement de l’Eglise chrétienne primitive. « Paraît » parce que la réalité est sans doute plus complexe : une lecture rapide montre que le livre porte surtout sur deux des apôtres, Pierre d’abord, Paul ensuite...

Ensemble tous les chrétiens croient que la Bible est ‘Parole de Dieu’ ou ‘Ecriture Sainte’. Mais que veulent-ils dire précisément en affirmant que le texte biblique est ‘inspiré’ ?

Ce cours plonge les étudiants dans l’étude des trois premiers évangiles du Nouveau Testament : Matthieu, Marc et Luc, désignés comme « synoptiques » en raison de leurs similitudes structurales et de contenu, permettant une vue parallèle. Ce cours propose une compréhension approfondie du contexte, des auteurs et des spécificités littéraires et théologiques qui ont façonné ces textes. Son objectif est d’équiper les étudiants d’outils critiques pour analyser ces textes essentiels du christianisme, tout en explorant leur impact sur la formation de la théologie chrétienne primitive et leur réception dans l’histoire.

Ce cours relie les temps cachés et anciens, au présent et à la lumière du Ressuscité. Le premier Testament n’est pas révolu, il est comme une nappe aquifère à laquelle nous pouvons puiser.

Les psaumes étant des textes courts, nous avons ici à la fois tout un enseignement concret sur la manière d’étudier un document du point de vue de sa composition, et une présentation très serrée qui nous permet de ne rien laisser échapper de ce qui nous est dit.

Le lieu : une réalité complexe, difficile à penser etc. Mais c’est d’abord un ensemble d’expériences qui concernent tout le monde. Le lieu permet d’appréhender le corps, les autres, le monde de différentes manières qui ne sont pas abstraites (l’altérité, la présence…), mais concrètes (je suis seul, j’ai peur du vide, l’approche d’un autre me séduit ou m’effraie etc

Découvrez la deuxième partie du cours :

IN266 - Littérature sapientielle

Découvrez la première partie du cours :

IN265 - Littérature sapientielle

Méditation d'un psaume

Ce cours est écrit en anglais, mais le professeur étant francophone, il est possible de lire le cours en angalis et de rédiger le devoir en français. Ce cours est une partie du livre :
Mahieu, Bieke. Between Rome and Jerusalem. Herod the Great and His Sons in Their Struggle for Recognition: A Chronological Investigation of the Period 40 BC-39 AD, with a Time Setting of New Testament Events. Orientalia Lovaniensia Analecta 208. Leuven: Peeters, 2012.

Paul s'est converti au Christ non pas à partir de l'incroyance ou de l'immoralité, mais à partir d'une profonde expérience religieuse à l'intérieur du judaïsme...

 Ce cours est écrit en anglais mais le professeur étant bi-lingue, il est possible de le lire en anglais et de remettre le devoir en français.

Comment faut-il traduire le mot hébreu חֲלוֹם en Qo 4,17-5,6 ? Faut-il réellement adopter la traduction couramment proposée par nos bibles modernes ? À voir le texte avec acribie on s’écarte du sens usuel, à savoir « rêve » (TOB et Bible en Français courant), « songe » (Bible de Jérusalem) pour adopter d’autres interprétations que le cours révèle avec anagogie et pédagogie.
 

Sont présentées quelques figures féminines tant del’Ancien Testament que de l’époque de Jésus.On y trouve des femmes sachant se servir intelligemment de leur beauté. Elles ont des caractères passionnés et mènent une vie qui peut être parfois toute simple. Elles bénéficient toutes d’une puissante intuition spirituelle...

Ce qui rend la présentation de René Girard si agréable, c’est qu’il aide à comprendre, par quelques équations assez simples finalement (pourvu qu’on ait eu l’intuition de son système de pensée) certaines phrases de Jésus ou certaines affirmations de la théologie qui sont des plus obscures.

Une thèse, émise en Allemagne au XIXe siècle par un exégète, Baur, disait que Paul était le véritable « fondateur du christianisme », au sens où il aurait, d’une part, manifesté l’universalité du message du Christ, et, d’autre part, structuré les communautés de manière à surmonter le passage du temps. Jésus n’aurait fait qu’une réforme du judaïsme, sans réelle visée universelle...

La lecture juive traditionnelle du Cantique puis la lecture chrétienne ouvrent sur l’expérience mystique.

En un seul cours, les trois parties du livre d'Isaïe, lecture rigoureuse et interprétation théologique du plus chrétien des prophètes de l'Ancien Testament. Version courte d'un cours en deux parties de même thème.